Bonjour, je suis, avant d'être un élève d'Emile Duclaux, d'abord un citoyen. Je m'interroge sur sur vos revendications : -vous réclamez au rectorat le maintient de moyens pour, en premier lieu sauvegarder certaines options, et en second lieu certains postes.En effet en représentant près de 20% des suppressions de postes dans l'académie nous serions les "boucs-émissaires". Ainsi, le rectorat ne faisant que repartir un lot de moyens, vous demandez implicitement à celui-ci de les prendre autre part pour une répartition plus juste à l’échelle de l'académie. A mon sens une telle demande est hypocrite, je m'explique : -dénoncer l'injustice spatiale au lieu de la politique globale est une certaine forme d'acceptation de celle-ci. -en menant un combat sur la situation d'Emile Duclaux nous arrangeons notre situation personnelle au lieu de nous indignez de la situation nationale. C'est assez egoïste de "montrez nos crocs" une semaine pour une situation, certes grave mais qui peut être pire ailleurs, en laissant certains de nos politique faire de l'avenir de demain une question financière.
Avant d’être une enseignante de Duclaux, je suis d’abord une citoyenne et je m’interroge sur vos motivations : - Critiquer la mobilisation d’un établissement sous prétexte que « c’est jouer perso » c’est gravement méconnaitre notre action : d’abord nous avons été en première ligne lors de la mobilisation contre la précarité du mercredi 29 février, ensuite car nous avons toujours lié nos revendications avec celles des collègues qui, comme nous, se battent aussi pour éviter que le Cantal ne devienne un désert éducatif, je pense notamment à ceux de l’EREA. - Dénoncer les incohérences de la dotation du lycée c’est montrer, à l’échelle locale, et preuves à l’appui, que les réductions drastiques et la casse systématique que subit l’Education Nationale ne peuvent conduire qu’à une impasse. - Nous n’avons pas « montré nos crocs une semaine », mais nous menons chaque jour un combat pour lequel nous avons fait le choix de l’intelligence, de la sincérité et de la détermination.
Bonjour, je suis, avant d'être un élève d'Emile Duclaux, d'abord un citoyen. Je m'interroge sur sur vos revendications :
RépondreSupprimer-vous réclamez au rectorat le maintient de moyens pour, en premier lieu sauvegarder certaines options, et en second lieu certains postes.En effet en représentant près de 20% des suppressions de postes dans l'académie nous serions les "boucs-émissaires".
Ainsi, le rectorat ne faisant que repartir un lot de moyens, vous demandez implicitement à celui-ci de les prendre autre part pour une répartition plus juste à l’échelle de l'académie. A mon sens une telle demande est hypocrite, je m'explique :
-dénoncer l'injustice spatiale au lieu de la politique globale est une certaine forme d'acceptation de celle-ci.
-en menant un combat sur la situation d'Emile Duclaux nous arrangeons notre situation personnelle au lieu de nous indignez de la situation nationale. C'est assez egoïste de "montrez nos crocs" une semaine pour une situation, certes grave mais qui peut être pire ailleurs, en laissant certains de nos politique faire de l'avenir de demain une question financière.
Avant d’être une enseignante de Duclaux, je suis d’abord une citoyenne et je m’interroge sur vos motivations :
Supprimer- Critiquer la mobilisation d’un établissement sous prétexte que « c’est jouer perso » c’est gravement méconnaitre notre action : d’abord nous avons été en première ligne lors de la mobilisation contre la précarité du mercredi 29 février, ensuite car nous avons toujours lié nos revendications avec celles des collègues qui, comme nous, se battent aussi pour éviter que le Cantal ne devienne un désert éducatif, je pense notamment à ceux de l’EREA.
- Dénoncer les incohérences de la dotation du lycée c’est montrer, à l’échelle locale, et preuves à l’appui, que les réductions drastiques et la casse systématique que subit l’Education Nationale ne peuvent conduire qu’à une impasse.
- Nous n’avons pas « montré nos crocs une semaine », mais nous menons chaque jour un combat pour lequel nous avons fait le choix de l’intelligence, de la sincérité et de la détermination.