jeudi 15 mars 2012

Radio Totem 14 mars

Aurillac : les professeurs d'Emile Duclaux mobilisés

le 14/03/2012 11h41


Des enseignants du lycée Emile Duclaux, à Aurillac, vont se rendre au rectorat Clermont-Ferrand, ce mercredi. Accompagnée d'élèves et de parents, une vingtaine d’entre eux va se rendre au rectorat pour demander le maintien de la totalité des enseignements dispensés dans leur lycée. La rectrice prévoit notamment à la rentrée de septembre de supprimer une classe de seconde, de rendre 5 postes pleins et 4 demi-postes d’enseignants et de fermer des options. Notez qu’un préavis de grève des enseignants a été déposé pour jeudi.

Radio Totem 13 mars

Aurillac : le lycée Emile Duclaux reste mobilisé
le 13/03/2012 11h32

Depuis le 27 février dernier, à Aurillac, les enseignants du lycée Emile Duclaux poursuivent leurs actions pour dénoncer les suppressions prévues dans l'établissement à la rentrée de septembre. Un déplacement est prévu mercredi après-midi avec un rendez-vous à 15h devant le rectorat. Les manifestants demanderont la révision de la dotation horaire afin de maintenir les classes et options menacées. Selon un communiqué, "la dotation horaire proposée ne tient pas compte de la situation particulière du lycée. C’est le seul du bassin d’Aurillac à proposer toutes les filières générales et des formations nombreuses et spécifiques".

dimanche 11 mars 2012

La voix du Cantal 8 mars 2012




7 mars Radio Totem

Aurillac : Vincent Descoeur défend le lycée Duclaux
le 07/03/2012 10h13

Alerté par les parents d’élèves du lycée Emile Duclaux à Aurillac, le député Vincent Descoeur s’est adressé au recteur de l’académie de Clermont-Ferrand. Le lycée doit rendre 5 postes pleins et 4 demi-postes, ce qui représente près de 20 % des suppressions de postes en lycée général et technologique sur l’académie. Le député demande à Marie-Danièle Campion de revoir sa copie et de reconsidérer la dotation horaire. Il lui a dit lors de la venue du ministre Laurent Wauquiez à Aurillac, lundi. Vincent Descoeur en a profité pour sensibiliser aussi le ministre de l’Enseignement supérieur à la situation de cet établissement.